Accompagnement des personnes
atteintes de cancer
Vous êtes atteint.e d’un cancer ?
Vous venez d’apprendre le diagnostic ?
Ou peut-être vous trouvez-vous en phase de traitement, en phase de rémission ou dans une situation de récidive ?
Quelle que soit la période de la maladie que vous traversez, vous vous trouvez peut-être confronté.e à certaines souffrances physiques et/ou psychiques, en plus de la maladie elle-même :
Un état de sidération, de colère et d’extrême angoisse suite à l’annonce de la maladie et aux investigations multiples qui s’en suivent ; une sensation d’isolement brutal, une perte de repères et la difficulté de l’annonce à vos proches (la peur, la tristesse, voire la honte et la culpabilité peuvent surgir).
Le temps suspendu de la phase des traitements : le deuil des projets, la perte d’autonomie, les effets secondaires physiques des traitements (douleurs, nausées et vomissements, fatigue, anorexie, aphtes…), les souffrances morales dues aux mutilations, l’incertitude par rapport à l’avenir, l’angoisse des résultats des traitements ou celle d’une aggravation, un état dépressif dû à un sentiment d’impuissance, de révolte ou de désespoir…
La phase de rémission tant attendue mais où, confronté.e à certaines séquelles, aux effets secondaires des traitements de suivi, aux bilans médicaux réguliers, à l’arrêt brutal des relations avec les équipes médicales, au sentiment de « vide » après le temps dédié presque exclusivement aux traitements, à la crainte de la récidive,…vous souffrez d’un état anxieux et/ou dépressif, vous vous posez des questions existentielles et vous êtes aux prises avec des croyances négatives qui vous empêchent d’avancer (« Je ne vais pas m’en sortir, alors que les médecins sont optimistes » ; « Les médecins me cachent la vérité » ; « La chimio est un poison qui va me tuer aussi sûrement que le cancer » ; « Je vais devenir dépendant » ; « Même si je guéris, je ne serai plus comme avant ».
Ou peut-être connaissez-vous une rechute de la maladie, avec la reprise des traitements souvent plus agressifs, associée à un découragement profond, à la perte de confiance dans la médecine et dans l’avenir et peut-être à un décalage relationnel avec votre entourage ?
Quelles solutions pour garder l’espoir, sortir de l’impuissance et retrouver de l’énergie ?
.png)
Ces profondes difficultés et ces souffrances peuvent être grandement améliorées par un prise en charge ciblée, basée sur les découvertes en neurosciences, que j’ai adaptées à deux méthodes existantes (méthodes du Pr John Sarno et du Dr Carl Simonton). Ainsi, l’accompagnement que je vous propose va permettre, grâce à des techniques et des outils thérapeutiques spécifiques, et en fonction de votre demande :
-
De découvrir et activer vos forces mentales et vos ressources psychiques internes.
-
De désamorcer le séisme émotionnel dû à l’annonce du diagnostic (effet nocebo).
-
D’améliorer la récupération post-opératoire et la compliance aux traitements.
-
De diminuer les effets secondaires des médicaments.
-
De gérer la douleur et diminuer les antidouleurs.
-
De dépasser la crainte de voir et toucher les parties du corps modifiées par les traitements chirurgicaux.
-
De calmer, voire de stopper, la pression et les angoisses.
-
De dépasser les sentiments d’impuissance, de désespoir, de révolte, en vous aidant à être actif dans votre traitement et dans votre quête de guérison.
-
De corriger les croyances négatives en les transformant en croyances saines et motivantes.
-
De retrouver votre confiance en vous, votre estime de vous (cadre du retour au travail par exemple).
-
De (re)définir votre(vos) raison(s) de vivre : pourquoi vous avez envie de vivre maintenant, ce qui vaut la peine.
-
De cultiver vos émotions positives.
-
D’ancrer l’ESPOIR, de retrouver de la JOIE DE VIVRE, bref d’Y CROIRE.
En résumé, cet accompagnement va vous permettre d’améliorer votre qualité de vie durant l’épreuve que vous traversez, il va également vous permettre d’optimiser l’efficacité des traitements, aigus ou au long cours, et ainsi d’augmenter vos chances de sortir victorieux.se de cette épreuve.
Il s’agit réellement d’une approche complémentaire aux autres modalités thérapeutiques.
« Face à l’incertitude, pourquoi ne pas choisir l’espoir ? » (Dr Carl Simonton, Oncologue)
« J’ai toujours pensé qu’on mourrait autant d’ignorance que de maladie. De l’incapacité d’utiliser nos ressources spirituelles. » (Dr Antoine Sénanque, neurologue)

" Des solutions pour garder l'espoir, sortir du sentiment d'impuissance et retrouver de l'énergie."